voici la mienne ^o^ !

bon avant tout j'ais commencer il y bien longtemps et ell n'estoujours pas fini donc voilà les perso de final fantasy et plusieurs autre manga y sont mélanger bien bonne lecture !


France, a paris

8 h 50

« Maman il faut absolument que je continu mes études, je veux dire que je passe au moins le bac et … »

« Ma fille, on ta laisser ta chance de te rattraper mais là on sait plus comment se comporter face à tes agissement, tu comprend si tes notes ne s’améliore pas tu ne pourra pas aller très loin ! »

Il eu un moment de silence , les parents de cette jeune fille se regardent puis voyant leur fille d’un air déçu , se demande bien si elle ne ferais mieux de travailler au lieux d’essayer inutilement de continuer au bout de ses études pour eux sa serait une perte de temps .

« Mais laisser moi une dernière chance, j’ais vraiment changer et je veux continuer même si je doit aller à todai je veux vous le prouver …
- Ah oui ? Sais tu au moins où se trouves cette université ?
- …
- Laisse moi deviné, Au japon ? Ah ! Aurais- je raison ?
- Oui et alors ?! Maman je suis sérieuse !
- Comment feras tu pour te trouver un logement ? Te nourrir ? Je te rappelle qu’on ne serait plus là pour payer tes études.
- Je me débrouillerais ! Si il le faut, je trouverai un petit travail pour payer mes études ! Et pour le logement, tu m’as bien dit que grand père habite à Tokyo, je pourrais lui demander son hospitalité …
- très bien puisque tu penses savoir comment te débrouiller pour tes études, il ne reste plus que tu nous prouves que tu es capable d ‘accéder à cette université …
Mais dit toi que un jours ou l’autre nous viendrons te voir au japon, et nous pourrons constaté si on a vraiment fais le bon choix, et attention, si quelque chose t’arrive, nous ne seront pas là pour te pomponné …
« N’es ce pas mon chérie, tu en es témoin ? » finit la mère à lui murmuré à son oreille tout en l’enlaçant.


« Oui bien sur, loas encore une chose, fait attention aux japonais, ils sont dangereux, alors méfie toi à qui tu t’adresses … »

*********

Hôtesse de l’air : Mademoiselle ... ? Mademoiselle, je vous demande d’attacher votre ceinture, l’avion à destination de Tokyo va bientôt décoller.
Loas : Ah ! Oui je vous remercie.

La jeune fille venait juste de se souvenir la raison pour laquelle, elle avait décidé de prendre l’avion, elle se sentait mal à l’aise de devoir s’éloigner de ses parents, et d’aller dans un pays où elle n’avait passé que quelques semaines de vacances chez son grand père qui lui tenait un grand hôtel dans une très grande ville, c’est pour cela qu’elle avait décidé de s’y rendre chez son grand père, parce qu’elle savait bien qu’elle serait accueillie à bras ouvert.

En effet, elle savait parler couramment le japonais mais sa faisait bien longtemps qu’elle n’était plus retourné. Elle avait du forcément perdre l’accent c’est pour cela qu’elle tenait à la main un bouquin écrit en toutes lettres en gras « apprendre le japonais de A à Z »

Enfin, l’avion venait de décoller, apparemment tout se passait bien, la jeune française venait faire son baptême de l’air, jusqu’à présent. Elle n’avait jamais voyagé par la voie des airs mais seulement en mer et par les voies ferroviaires.

Loas : Je devrais prévenir mon grand père, j’avais complètement oublié de le faire avant le décollage.

Oh et puis zut ! Je le ferais une fois à l’aéroport.

Hôtesse de l’air : Excusez moi mademoiselle, désirez vous boire ou mangé mademoiselle ?

Loas : Qu’avez-vous à me proposé ?

La jeune femme lui proposait de nombreux boisson, et des gâteaux faite maison.
Finalement loas désirais seulement prendre une boisson :

« Ah oui euh du sirop de pomme s’il vous plait. »

Hôtesse de l’air : Voila, pour vous, vous ne voulez pas un petit gâteaux fait maison, elles sont délicieuse !lui demanda tout en souriant.

Loas : Euh non … Je vous remercie mais en ce moment je fais un régime. Oh et puis je peux faire abstraction, pour une fois ! Comme elles ont l’airs d’être délicieuse…
Puis elle reprend sa lecture ou elle l’avait laissé.

****************

Hôtel hikari

11 heures 15min

Tout se déroulais comme d’habitude, cette journée n’était pas aussi différente que les autres, mais la grande demeure semblait inhabitée. On croirait que seul les chats y résidaient. Mais pourtant, des personnes y vivent et sont plutôt à leur aise.
En effet l’un d’eux venait juste de sortir de son bain. Il était en serviette, en train de coiffer sa chevelure blond .il devait être coquet, puisqu’il ne cessait à aucun moment de détaché son regard du miroir qui se trouvait dans la salle de bain.
Jusqu’au moment où le téléphone sonnait, évidemment personne ne se précipitais pour le décrocher. Il continuait à se parfumer, le téléphone n’abandonnait pas le combat et s’acharnais toujours à sonner, quand le jeune garçon manifeste son mécontentement :
« TIDUS ! Qu’est ce t’attend pour décrocher ! »

Tidus venais d’arriver près du combiné, et il criait :

Tidus : Et pourquoi tu n’y vas pas toi !

??? : Nan ! Je suis occupé, alors grouille toi avant que j’explose ce combiné !

Tidus : ah j’en ai marre ! C’est toujours moi !allo… allo ? »

Loas : grand père ? Bon ! ….euh je n’ais pas beaucoup le temps pour te parlé. Mais je voudrais juste te dire que je viendrais tout à l’heure à l’hôtel ! Excuse moi de ne pas t’avoir informé, mais je serais là dans 2 heures ! voila j’espère que l’adresse est toujours le même ! Merci grand père je t’embrasse !

Le jeune homme déposa le combiné, il n’avait pas eu le temps de dire quoi que ce soit, mais bon il devait se dire que sa ne devait pas être très important.

??? : C’était qui Tidus?

Tidus : Ah djidane, tu t’es décidé à quitter ta salle de bain !

Djidane : C’est un faux numéro ?

Tidus : Euh… ouais c’est ça un faux numéro. Bon, on va se regarder un film ?

Djidane : Laquelle ?

Tidus : Un film d’action ! C’est super en fait c’est l’histoire d’un flic qui arrête un bande me malfrat et …
Djidane : Ah ! Tu ne vas pas me dire que c’était celui que tu avais vu 4 fois !
Tidus : Ouais comment t’as deviné ? Je t’assure c’est trop bien !

Djidane : Ah Tidus… Tidus ! Combien de fois te fraudais t’il que je te le dise. Ce n’est pas en regardant ce genre de film que tu vas tout savoir comment t’y prendre avec les filles !

Djidane : Ah, ah Ne me dit pas que toi tu ne regardais pas ce genre de film !

Djidane : Eh bien si tu penses que je passe mon temps à ne rien faire, tu te trompes !

Contrairement à toi, moi je m’intéresse à des films qui sont destine majoritairement aux filles et cela me permettra d’apprendre des tas de choses sur elle ! Comment elle pense ! Qu’es qu’elle attend de nous ! Enfin des tas de trucs !?

Il s’assoie sur le canapé, avec un air tout à fait anodin tout en prenant la bière qui se trouvait sur la table basse. Tidus détestait lorsque djidane jouait son supérieur sur le faite de savoir plus de chose sur les fille que lui, et sa l’énervait mais il ne pouvais pas faire grand-chose juste le fait de l’écouté.

Tidus : Hey ! Depuis quand tu bois de la bière ? Tu n’as que 16 ans !
Djidane : T’occupes, j’ais l’habitude ! C’est pas maintenant que tu vas joué t’as crise ! Tu n’es pas ma mère ! La télécommande à la main, tidus avec un air moqueur lui disait :
Tidus : Bien sur j’avais oublié que toit tu es le gars parfait, qui sait tout et moi je ne suis qu’un simple débutant ! Il faudrait combien de fois que je te le dise que les filles ne m’intéressent pas pour l’instant je préfère m’amuser…
Djidane : Oh arrête de dire n’importe quoi ! Et viens t’asseoir, je vais te montrer ce qu’est un vrai film, ok !?
Le film était déjà dans le DVD, pendant quelques minutes tout les deux étaient concentré sur le générique, lorsque tidus s’impatiente :
« Eh ! Mais s’est quoi ce film ! Le générique dure plus de dix minutes. Il n’y a rien qui se passe ! »
Djidane : Attend … voila ! Ça commence…


*Film*

« Monika… Il est nécessaire que tu le saches …sache que mon cœur t’appartient et t’appartiendra toujours !?Quoiqu’il puisse m’arrivé je serais toujours là.
-John…le nombre de fois que tu m’avais dit que tu allais divorcé et que enfin tu ne me mentiras plus et qu’enfin t’a femme ne se sentira plus trompé ! Et toi, tu es là à attend que tout se déroule comme s’y pour toi je n’existais plus, quand elle est là ! Je ne peux plus supporté encore longtemps !?Soit tu te décides, c’est entre elle ou moi John !
-Monika je…j’aimerais bien que tout soit facile mais il y a des priorité et …
- Ne m’appelle plus par mon prénom, c’est fini tu m’entend …
-Monika ! Attend je t’aime…
Elle s’arrête, le dos toujours tourné . »

Tidus : Eh ?! Mais, je croyais que c’était un film et pas une série …se plainait- il
Djidane toujours le regard intense sur l’écran, où John était sur le point de posé sa main sur l’épaule de son amoureuse, explique avec philosophie et sagesse, comme s’il était un spécialiste en herbe sur la situation :
Djidane : Bon je vais t’expliquer. D’abord c’est une série américaine qui s’étend sur 200 épisode soit sur 3 saisons ! Je n’ais suivis que 100 épisodes et là il n’a toujours pas avoué clairement si il aimait toujours sa femme ou si il devait se décidé à lui avoué son amour ,mais le problème il les aime toute les deux,or ,si il avoue, c’est finis l’une d’elle le prendrais pour un pauvre con ,et sa risquerait de compromettre son projet et de les perdre toute les deux et à la fin il se retrouve tout seul !mais se qui est bien, c’est que le gars essaye de gagné du temps afin de trouvé un plan pour les gardé toute les deux !
C’est un malin ! Je ne sais pas comment il avait fait pendant tout ces épisodes pour dissimulé ce secret mais Monika gobait tout ! Or je ne sais pas jusqu’où il va continuer ?! Il est trop fort ce gars !

Tidus : Ah ça veut dire qu’il profitera d’elle tant qui peut avant qu’il se face jeté ?! Comment tu as pu comprendre tout ça en quelques scènes !
C’est pas possible, même moi je voie pas pourquoi il ferrait ça ce John…
Djidane : Eh bien je peux comprendre que ça t’étonne, parce que ça va faire la cinquième fois que je visionne cet épisode …
Tidus : Quoi ?! Tu ne vas pas me faire croire que toi ! Alors que moi ! J’avais à peine regardé le générique et ça m’avait complètement soulé !
Djidane : Aah sa m’avait fait la même chose au début, je ne comprenait à rien mais maintenant je suis totalement devenu un drogué enfin comme même pas ! Je dirais plus tôt un expert dans ce domaine ! Et qu’aucune fille ne me résiste …
Le films se déroulait comme le prédisait à chaque instant djidane, il connaissait chaque moment de la scène, et prenait un grand plaisir d’enseigné à tidus tout les petites astuce qui lui sera utile plus tard.
A cet instant le téléphone sonnait encore une fois djidane totalement à fond dans l’histoire, qu’il s’enfichait totalement de connaître qui sonnait évidement celui qui était t’obliger de le faire savais maintenant qu’il devait y allait sinon personne d’autre le ferai.
Tidus : Ooooh encore ! Sa va faire la deuxième fois aujourd’hui !djidane tu … Oh laisse tombé ! Je sais bien que tu n’iras pas répondre comme les autres fois !
Djidane : T’as tout compris … alors vas y parce que j’en suis sur que cette fois c’est pour toi !
Tidus : Tsst t’es trop feignant … je me demande bien ce que les fille te trouve… marmonna –t-il.
Djidane : Hein ?! T’as dit quelque chose tidus ?
Tidus : Oh non rien ?! J’ais seulement dit que c’était mon rôle de répondre …

Il s’éloigna se demandait bien pourquoi il n’arrivait jamais à lui dire de fasse se qu’il pensait de lui ! Enfin, tidus se trouvait à nouveau devant le combiné, et s’apprêtait à décrocher, lorsque le téléphone s’arrêtait de sonner.
Tidus : Zut trop tard ! Tout sa c’est de sa faute si je ne serais pas resté …
« Riiiinnnnng…… »
Tidus se précipitait sur le combiné afin de ne pas refaire la même erreur.
Tidus : Oui allo ?
??? : Allo Tidus, c’est moi…, répond une voix féminine, aigu.

Pendant que Tidus était parti répondre, djidane ouvrait le paquet de chips, pour attraper un pétale qui serait illico destiné à sa bouche. Il s’apprêtait à contester quand tidus revenait au salon pour prendre place à côté de lui. Celui ci s’interrogeait du fait que tidus ne disait rien. Il demanda :
« Alors ?c’était qui ? »
Tidus : C’est personne puisque monsieur à l’air de ne pas vouloir s’intéresser et ni de répondre …
Djidane : Oh dit ! Tu ne vas pas jouer ton gamin …
Tidus : C’était ma sœur, voila t’es content ?
Djidane : Hein ?!Depuis quand as-tu une sœur toi ?
Tidus : Je ne te l’avais pas dit ?
Djidane : Non… Sinon je m’en souviendrai et dit ! Je l’ai déjà vu ?
Tidus : Eh je t’interdis de t’approcher d’elle !
Djidane : Ah sa veux dire qu’elle est très jolie pour que tu ne me le dises…
Tidus : Ecoute tu sort avec tant de fille que tu veux, alors tu laisses ma sœur tranquille !
Djidane : Allé juste une petite sortit avec elle sa ne fera pas de mal,
Tidus : Hors de question pour que tu la plaques après ! Je dis non !
Djidane : Mais noooon…
Tidus eu une idée, il était sur que Djidane tomberait dans le panneau, mais bon c’était l’occasion pour lui de se venger.
Tidus : Je parie que si t’arrive à tenir deux jour à ne pas sortir avec qui que soit….alors je te laisserais sortir avec…
Djidane : Attend ! Attend…, c’est pas du jeux ?! Je veux d’abord voir sa photo.
Au même moment la porte d’entrée venait de se claquer, tout les deux l’aperçurent squall les bouquin a la main droite l’autre tenant son sac, il revenait des cours préparatoire.
Djidane le voyant, allait se plaindre à lui comme un gamin qui se plaindrait à sa mère qu’on lui avait enlever son joujou.
Djidane : Squall tu tombes bien, tu étais au courant que tidus avait une soeur ?
Squall le regard plein de méfiance, il savait bien que lorsque djidane lui demandait quelque chose c’est forcément pour agir ! Il lui répondait :
Squall : Bien sur que oui, pourquoi cette question ?
Djidane s’extasia : Ah aaah !! J’en étais sûr ! Eh bien figure toi que, Tidus ne voudrait pas que je sorte avec elle ! De peur que je la plaque …
Tidus : Non ! Je ne veux pas que tu sortes avec elle ! Nuance !
Squall : Ok, donc si je comprend bien depuis le temps que nous habitions ici ; tu n’étais pas au courant que tidus avait une sœur dire que vous vous connaissiez depuis le collège et donc comme aujourd’hui tu viens de l’apprendre, et donc tu ne raterais pas l’occasion de la connaître.
Djidane : Ouais c‘est ça ! Tu as tout à fait compris squall !
Tu vois Tidus ! Lui au moins il est compréhensive.
Squall se tournait un moment vers tidus qui lui était déjà entrain de pouffé rire depuis qu’il avait prononcé tout ces mots, et voyait djidane toujours excité par l’idée de la rencontré. Squall comprenait bien que djidane était à côté de la plaque .Il lui posait la question.
Squall : Djidane sais tu au moins qu’elle âge aurait sa sœur ?
Djidane : Son âge ? Oh euh …tu sais pour moi, qu’elle soit un peu plus âgé ou pas, cela ne me dérangerais pas … mais je veux seulement qu’elle soit mignonne et aussi très capricieuse !oui très…
Squall : Ah d’accord je comprend, donc tout ce qui t’intéresse c’est cela et rien d’autre djidane ?!
Djidane : Bien sûr ! Et… oh tidus ! Arrête de rire !
Tidus ria de plus belle.
« …. Dix ans », termina squall avec un sourire moqueur
Djidane : Hein !! Dix ans ! Mais alors… elle n’est que en classe de CP …En primaire !
Vous me dite sa pour me faire marcher … !
Djidane voyant tidus mort de rire et squall le visage qui voudrait dire qu’il ne rigolait pas. Il a failli accepter le parie pour cette gamine qui n’est qu’en primaire, mais pour ne pas perdre la face il essaye de se rattraper en disant :
Djidane : N’empêche même si elle n’a que dix ans, elle doit être très mignonne , et pus si elle est très gentille , moi sa me convient
Tidus : Quoi t’es en train de me dire que les fille te rejettent c’est pour sa que tu en recherche d’une qui n’a pas encore de …..
Squall : Djidane tu sais ce que tu comptes faire sera dit du harcèlement…
Djidane : Oh !? Mais je rigolais en fin de toute façon vaut mieux que je me calme en ce moment….
Et là il prend la télécommande et se rassoie sur le canapé, tidus le regarda et lui proposait en le taquinant :
« Tu la veux toujours la photo ? »
Djidane : Ca ne vas pas ou quoi ?! Je n’en n’ai plus rien à faire de cette photo maintenant !
Tidus se remet à rire, alors que squall monta les marches des escaliers lorsqu’il leur demanda :
« Au faite le proprio es se qu’il est revenu ? »
Djidane : Nan…il est toujours dehors pourquoi ?lui répondait djidane tout en mangeant ces chips devant la télévision.
Squall : Je voulais payer mon loyer de ce mois ci mais comme il n’est pas là....
C’est alors qu’il commença à monter quelque marche lorsque tidus le retient :
« Eh ! Mais où vas-tu ? »
Squall : Je monte étudier pourquoi ?
Djidane : Hein ?! Etudier ! Mais viens te détendre un moment, chez pas t’es allez en cour de préparatoire tu étudies et là encore tu reviens et t’étudie…
Squall : Oui !et alors ?en quoi cela te dérange ?
Djidane : Me dérange ? Voyons squall, il faudrait que tu te lâches un peu ! Tu ne crois pas ?
Tidus : Ouais ! Détend toi un peu ! Allez viens regarder un film avec nous…eh Djidane c’était quoi déjà le titre de ton film ? « L’amour fou » ou « l’amour qui tue » un truc comme ça hein djidane ?
Squall : Ecouter c’est gentil à vous mais non merci. Je dois étudier et vous devez suivre le même exemple…hey arrêtez !
Les bouquins que tenait squall étaient tombés puisque il était en traîné par Djidane qui l’avait agrippé son bras droit et tidus qui lui s’agrippait à son bras gauche, puis ils l’ont entraîné sur le canapé. Squall se débattait mais en vain, il du abandonné l’idée de partir étudier et de voir ce qu’il lui voulait encore ces idiots.
Djidane : Oui on le sait bien mais pour l’instant notre cerveau à besoin de se détendre ! Et le tient aussi non ?!Tidus commande une pizza !
Tidus : C’est comme si c’était déjà fait !
Squall (pense) :*Il vont pas me lâchez la grappe c’est sur et puis j’ai tout de même fais tous mes devoirs en avance…*bon d’accord, pas plus de une heure !eh ! vous m’aviez compris ?
Djidane : Une heures (0o0) mais c’est peu tu ne trouve pas non ? Ce qu’il te faut ces trois heures pas plus, alors tu ne vas pas bouger et comme j’ais dit détend toi !

Livreur : Allo pizza hut à votre service que puis je faire pour vous…
Tidus : Oui trois pizzas familiales avec garniture, de votre choix.
Livreur : Très bien tout ceci vous sera livrer à votre adresse qui est toujours la même n’est pas ?
Tidus : Bien sur monsieur, rien n’a changé !
Livreur : Nous vous envoyons tout de suite quelqu’un dans environs vingt minutes.

je l'avais déjà lu y a longtemps quand grenat l'avais mis sur un autre forum
elle doit se douter de mon avis

non pas du tout squall *rire* juste parce que l'ancien forum est suprimer et que pour ceux qui ne l'on pas vu ben voilà sinon oui je sais déjà que tu l'a dejà lu , ne t'en fait pas.

*************

« Voila nous y sommes, à l’hôtel humm …d’hikarie, c’est bien cela mademoiselle ! »Lui disait le chauffeur de taxi d’une voix grave qui la faisait sursauter et la faire sortir de sa rêverie.

Loas : Ah ! Euh …Merci beaucoup, eh bien, combien dois je vous payer ?
Chauffeur (tout en lui faisant un clin d’œil.) : Oh comme vous êtes une filles très mignonne ! Je vous fais un prix, au lieu de 20 yens je vous laisse à 10 yens le trajet !

Loas : Merci ! C’est très gentil à vous … hum voila tenez je crois que sa devrait suffire, non ?

Chauffeur : Merci mignonne !

A ce moment là il roula à une grande vitesse lorsqu’il s’arrêta au feu rouge. Elle se tourna vers la porte d’entrée. Tout en se disant :

Loas :*les chauffeur d’ici sont des dragueur, maman m’a dit que je devrait faire attention aux propos des gens d’ici…*

(Et a haute voix) Je suis enfin arrivé grand père…

Et elle commença à monter les longues marches de cette grandes demeures qui était autrefois la demeures de son grand père avant devenir un hôtel pour touriste mais bizarrement elle ne voyait personnes qui ne sortaient ou bien qu’ils rentrent dans cette demeure. Enfin elle devait se dire qu’on était dimanche et que s’était pour ça qu’il y a peu de monde ! Mais tout de même …

La voilà arriver devant la porte d’entrée. Les main crispé sur sa valise tout en se disant, si elle n’avait pas fait une erreur de venir jusqu’ici lui demandé une telle chose !

Elle ne voulait point s’incruster chez lui mais bon elle ne connaît personne à qui elle pourrait lui demander si elle pouvait cohabité avec eux. Donc raison de plus pour qu’elle aille demander de l’aide chez son grand père. Elle n’avait tout de même pas fait ce voyage pour rien ; son index frôlait la sonnette, puis d’un air tout à fait décider elle appuya sur la sonnette, mais quelqu’un l’interpella :

??? : excusez moi…, bonsoir, livreur de pizza, je viens pour livrer trois pizzas familiales…
Loas : hein ?qu’es que vous dites ? Je ne saisie pas tout ce que vous dites …

Le livreur était épuisé mais aussi énerver car c’était sa dernière livraison et il n’avait pas que sa à faire, donc il déposa ces paquet sur ses main et lui fit signe qu’il attendait l’argent. Elle comprenait rien à ce qui se passait mais elle voulait lui faire comprendre qu’elle n’avait rien commandé mais il insistait sur un ton un peu plus élever :

« Je suis désolé ! Mais c’était bien à cette adresse que vous nous aviez fait parvenir ! Alors je vous en prie !j’ai parcouru la moitié de la ville jusqu’ici alors accepter et payer ce que vous me deviez.

Loas était étonné et même un peu intimidé. Elle se disait :*oh et si c’était grand père qui avait décidé de faire cette commande, mais depuis quand ! Il mangerait des pizzas! Et surtout trois !bon heureusement qu’il me reste un peu d’argent mais j’espère que ça va lui suffire…*

Le Livreur voyait bien se qu’elle lui avait donner n’était pas assez, mais rien qu’en voyant que c’était une étrangère, parce qu’elle était chargé de valises, et que son accent était pas trop japonais… il lui rassurait d’un sourire :

« Écoutez vous n’avez pas assez d’argent et je ne veux pas rependre ces paquets, alors je vous le fait cadeau de la livraison … »

Loas n’avait malheureusement pas saisie d’une seule traite elle à seulement compris « cadeau » mais le reste c’était un peu trop rapide pour elle.

Elle voulait lui demander de répéter, mais il était trop tard, car il la laissait la devant la porte d’entrée quand il commençait à descendre quelques marches, loas n’eu d’autre choix que de lui crier :

« Je vous remercie !...Pour le cadeau ! Merci ! »

Le livreur se retourna et lui fit un bref sourire qui voulait tout dire à cet instant. C’était alors que loas eu une sensation étrange, et elle lui rendit un aimable sourire comme si elle l’avait toujours connu. Elle ne le quittait pas d’un regard lorsqu’il descendait les marches de cette grandes demeures, puis une fois qu’il monta sur sa moto de service et qu’il quittait le boulevard, qu’elle fini par se dire :

Loas :*il doit sûrement avoir mon age mais qu’es qu’il a un beau sourire, je pense comprendre ce qu’est le coup de foudre….*

Ah oui ! Hein mais qu’es ce qui m’arrive se n’est pas le moment de m’endormir, je dois pouvoir arrivé à faire sonné cette sonnette…

« Drrrrrrrrrriiiiiiiiiiiiiiiiinggggg……. »

Djidane : Tidus tu peux aller voir…
Tidus : Pourquoi ça serait moi qui dois y aller ! Hein !c’est toujours moi qui doit …
Djidane : Parce que c’est toi qui à commander la pizza, donc il est normale que tu ailles ouvrir …
Tidus : Djidane si tu continues !
Squall intervenait d’un air tout à fait calme et intelligible comme s’il en avait l’habitude de toutes ses chamailleries …
Squall : C’est bon j’y vais… !

Il se demandait encore, comment il avait réussi à rester au près d’eux aussi longtemps. Il ouvra la porte .Il s’attendait à voir un gros livreur de pizza qui tenait à ses bras trois énormes paquets…
Mais non ! Au contraire il voyait apparaître une jeune fille. A première vu totalement débordé par ces bagages mais en plus de ça de trois paquets de pizza au bras .Squall totalement abasourdi et étonné ne pu rien dire , juste le temps qu’il reprenne contrôle de ces esprits puisqu’il ne disait rien, seulement un « mais » sortit de sa bouche.
Squall :*Eh bien !?*
Loas : Il est possible que vous m’aidiez j’ai du mal à …oh ! Nooon !!
Les paquets ont glissé de ces mains, quand squall d’un réflexe étonnamment rapide réussi à les rattraper juste attend ; Loas impressionné le remercie comme à son habitude.
Loas : Ah merci ! Huff …eh ben dit donc c’était de peu ! Euh es que je pourrai entrée ?
Squall : Oui … Euh … non pas tout de suite!
Loas : Ah ?
Squall : En fait, pouvez vous patientez quelques minutes, s’il vous plait ?
Loas : Oui, bien sur.
Squall : Très bien, attendez moi là…
Squall referma la porte et alla en direction du salon ou se trouvaient toujours djidane et tidus.
Squall : Eh dites moi les gars !
Tidus et Djidane étaient tellement concentrés devant la télévision que squall a du l’éteindre d’un seule coup sur le bouton off.
Tidus : Eh mais qu’es ce tu fou !
Djidane : On était au passage où il devait la plaquer…
Squall : Fermer là ! Maintenant que j’ais toute votre attentions, quelqu’un peut me dire s‘il n’attendait ou aurait oublié par hasard un rendez vous, aujourd’hui?
Djidane : Tu entends par quoi un rendez vous ?
Tidus (demande) : Hey squall ! C’était pas le livreur e pizza ?
Squall (un air patient) : Si c’était bien le livreur …
Djidane (à son tour demandait) : Mais alors où sont les pizza ?
Squall : Avec elle…
Tidus : Elle ?
Djidane : Tu te moques de nous ou quoi !?
Squall (perd patience) :c’est pour sa que je vous demande si vous aviez encore prévu qu’une jeune fille débarque comme ça, les valise à la main …
Djidane (demande à son tour) : Quoi elle est devant la porte là ?
Squall : Tidus tu n’aurais pas une petite idée de qui ça peu bien être ?
Tidus : Eh bien j’ai eu un coup de fille de ma sœur et je crois bien qu’elle m’a dit qu’elle passerait me voir mais …Enfin je ne pense pas que ça soit possible... Eh pourquoi vous me fixer comme ça ?
Djidane: Dit Tidus …Tu n’aurais pas eu par hasard une autre sœurs que tu aurais pu nous caché ?le
Tidus : Eh bien je ne croyais pas qu’elle allait venir comme ça ! Sans me prévenir !enfin à chaque fois qu’elle me dit qu’elle viendrait me voir…. Elle ne le faisait jamais! De plus il y a bien longtemps que je l’ai plus vu et…
Djidane (contrarier) : Tu t’es donc bien foutu de moi tout à l’heures ! Ce n’était donc pas une fillette de dix ans…
Squall (déclare à haute voix) : Bien sûr qu’il en a bien une, mais c’est pas la bonne c’est tout …
Djidane se leva avec une grande vivacité comme si il était sur le point de sprinter quand il s’exclama :
Djidane : Tu l’avait laisser devant l’entrée !dit djidane
Squall : Ben oui … pourquoi ?!
Djidane (d’un sourire pervers) :t’es fou de laisser une jolie fille dehors par se froid ! En tout cas moi j’irai bien l’accueillir dans mes bras, pour la réchauffer !
Tidus (en criant) : HEY !mais attend je ne suis même pas sur que se soit vraiment ma sœur !!

Il était trop tard, djidane était déjà partis à la porte d’entrée, squall désespéré ne cherchait même pas à le rattraper, c’était inutile… Alors que tidus lui était toujours assis sur le canapé cherchant à savoir si c’était bien sa sœur ou pas.

Devant la porte d’entrée, loas attendait toujours. En effet nous somme dans la saison d’automne et donc il devait pas faire très chaud !elle avait les main frigorifier qu’elle avait du se frotté ses main l’une contre l’autre mais rien à faire, elle se disait à ce moment là :
Loas :*Quel drôle de garçon… Il m’a demandé de l’attendre deux minutes et voila déjà vingt minute passé ! Oh si c’est comme ça, je n’ais cas sonné une deuxième fois… Peut être qu’il m’a oublié !
En plus qu’es qu’il fait froid ! (Elle se frotta les épaules pour se réchauffer) Bon c’est décidé, je sonne !*
Au moment où elle comptait poser son index sur la sonnette ; La porte s’ouvrit avec vitesse, et elle le vit pour la première fois, un jeune homme mais pas le même que tout à l’heure, il avait les mèches longues et rebelle de couleur dorée et ces yeux était profondément bleu foncé, il portait une chaîne en or, mais ce qui l’étonna, c’est qu’il était habillé très léger, seulement d’un tishirt, et d’un penta court vert foncé. Elle avait tout de même réussi à lui parler malgré sa timidité :

Loas : Ah bonsoir , euh…oui ça faisait un moment que j’attendais, Alors je pensais sonné encore une fois , Mais je m’attendais a voir l’autre garçon qui était venu tout à l’heure…Euh es ce que tout va bien ?
Loas lui demandé car depuis tout à l’heure, djidane ne cessait pas un seul instant de la regarder de haut en bas, et lui souriais à chaque instant comme si il lui essayait de lui faire passer un message, mais malheureusement elle ne savait pas du tout ce que cela signifiait, djidane lui répond sur un ton rassurant :
Djidane : Ah oui ! Ne vous en faites pas c’est juste que je ne m’attendais pas à une visite de votre part… Mais entrée donc! Vous devez être frigorifié, vos joue sont toute rosie par se froid… Mais permettez moi que je vous aides a portez vos valises ! Elles doivent être très lourdes !
Loas : Ah mer...Merci beaucoup!
*mais qu’es ce qu’ils ont tous a êtres beau dans cet hôtel !!* pensa t elle toute rouge de gêne.
Ils venaient d’entrée dans le hall d’entrée. Lorsque tidus, posa le regard sur elle et il dit à voix basse :
Tidus (sur de lui): ce n’est pas ma sœur squall…
Squall : Quoi !?Comment ça ce n’est pas ta sœur ? Tu ne te moquerais pas de nous, parce que tout à l’heure tu nous as dit que…
Tidus : Oui mais je sais comme même la reconnaître ! Puis elle est moins belle que elle, et en plus c’est rare qu’elle vienne me voir…
Squall (en fronçant les sourcils) : Mais alors , Si ce n’est pas ta sœur, qui es ce ?
Djidane déposa les valises au bas des escaliers, et quand il se relevait il lui disait :
« Eh bien il fait bien plus chaud qu’ici que dehors vous ne trouvez pas ? »
Loas (d’un sourire gêné): euh si bien sur.

Djidane (le regard pétillant): je vous apporte du thé pour vous réchauffer !
Loas : Ah je …merci ! Mais non merci. Je viens pour voir M. hikarie.
Djidane (d’une voix un peu plus sérieuse) : M hikarie, je pense qu’il ne devrait pas tardez à descendre, mais le temps qu’il arrive veuillez accepter mon offre.
Loas : Eh bien c’est d’accord, merci !

Djidane lui souris avant de se levé du canapé et sorti du salon afin de se diriger dans la cuisine qui se trouvait en fait juste à droite des escaliers. Elle observait le lieu, ici c’était comme autrefois rien n’avait changer en fait si tout de même, au niveau du ménage, c’était plus trop ça ; on voyait carrément des cannete traîné un peu partout des miettes de chips qui doit dater de la semaine dernière et encore des sous vêtement sales qui traînes sous le canapé…

Elle se disait :

Loas : *eh ben dit donc comment se fait il que je ne voit plus de femme de ménages, les employés ont été renvoyé ? Et j’ai drôlement l’impression d’être la seule fille au monde ici …*

**************


Dans la cuisine.

Djidane sort le thé du placard, quand squall suivit de tidus entrèrent :
Tidus (d’un air taquin) :C’est étrange que tu sois aussi poli avec ma sœur ! Pourtant tu m’avait dit que tu n’étais plus intéressé au parie !hein djidane…
Djidane se tourna vers eux et il était impatient de leur raconter, son exploit enfin pouvons nous appelé cela un exploit ?
Djidane : Ah vous êtes là ! Je la trouve charmante et très polis avec moi. Je crois bien que je vais lui demander un rendez vous … Même si elle ne parle pas très bien le japonais ,enfin j’ai l’impression que son accent est étranger rien avoir, mais ça ne me dérangerai pas ah ah…
Squall (l’expliquait) : Ecoute djidane, ce n’est pas sa sœur…
Tidus (se plainait) : Hein et alors, elle peut le devenir non ?
Squall : On ne sait pas, mais c’est une personne qui vient voir hikarie.
Djidane (décidé) : Moi en tout cas que ça soit sa sœur ou pas, elle m’intéresse donc, la il déposa deux tasse sur le plateau, ne soyez pas surpris quelle tombe follement amoureuse de moi.

Djidane sort de la cuisine en emportant le plateau composé de tasse et de petits gâteau qui devait en rester au fin fond du placard, laissant tidus au grand yeux ébahis parce qu’il venait d’entendre :
Tidus : Il a bien dit tomber follement amoureuse de lui. J’aimerais bien voir ça !
Squall : Ne soit pas imbécile Tidus ! Il est bien trop sur de lui et ça sa va le faire perdre sa confiance, enfin moi je m’en fiche de lui mais je m’inquiète plutôt pour elle …
Tidus : Quoi, t’est en train de me dire que tu as un petit faible pour elle !
Squall (rouge de colère) : Ne raconte pas n’importe quoi !
Tout les deux sortaient de la cuisine pour voir ce que djidane essayait d’accomplir avec sa nouvelle conquête.

Au salon
Djidane : Voilà votre thé jolie demoiselle…
Loas : Ah merci !
Elle prenait la tasse puis elle le mettait aux bords de ses lèvres quand elle se brûla la lèvre inférieure, elle s’écria:
Loas (tout en se mordant sa lèvre.) : AAAH c’est chaud ! A que je suis bête je me suis brûler la lèvre inférieur…
Djidane : Oh excusez moi… Le thé devait être trop brûlant pour vos jolie et délicates lèvres…
Loas rougissait de plus belle ! C’était comme si quelque chose de nouveau venait de se passé, car bien sur loas, auparavant n’a jamais réussi à engagé une très longue conversation avec un garçon, la dernière fois ce n’était juste que pour demander un crayon ou un stylo dans sa trousse et rien d’autre. Elle se sentait toujours mal à l’aise, mais cette fois ci elle ne se trouvait pas avec n’importe qui ! En effet elle aurait deviné que ce garçon devait avoir beaucoup de succès auprès des filles grâce à son charisme mais surtout à son apparence, car en effet il était plutôt pas mal, et il est tout de même beau comme un dieu ? (Euh n’exagérons rien rire). Enfin bref loas ne savant comment conversé avec lui préfèrerait se taire et d’attendre qu’il lui demande quelque chose quand il lui demanda, d’une voix douce et rassurante.
Djidane : Excusez moi de vous posez cette question mais puis je connaître votre jolie petit nom ?
Loas : Mon prénom ? Ah oui c’est vrai que je ne m’était pas présenter ! Euh je m’appelle…
Quand elle était sur le point de lui annoncer son prénom, quelqu’un avait interrompu leur conversation, d’une voix douce mais âgé se prononça :
??? : Ah !? Ma petite fille es ce t bien toi ? Souriait le vieil homme.
Il descendait à son aise les marches de sa propre demeure, le temps que loas pouvait l’apercevoir et pouvoir enfin exprimé son extrême joie de le voir enfin et de pouvoir le rejoindre le plus vite possible laissant djidane bouche bé, recraché tout le thé qu’il avait dans sa bouche, puisqu’il ne s’attendait pas du tout qu’il soit de retour aussi vite ! Alors que ces deux amis squall et tidus bien sur, étaient resté caché devant la porte qui mène au salon, tout en ne se faisant pas voir par le nouveau venu.
Squall fixait intensément tidus lorsque celui-ci ce défendait :
Tidus : Ben quoi, Je croyais qu’il était sorti ! Pour quelques instants voir un médecin !
Squall (avec ironie) : Tu croyais vraiment qu’il sortira là maintenant, par ce temps glacial ?
Quand il descendit enfin des escaliers loas était déjà là a sa rencontre quand djidane essuya ce qu’il avait craché avec l’un des sous vêtements qui devait traîné par terre (qui appartenait à tidus évidemment.)Tout en grinçant ses dent :
Djidane : *zut tidus tu va me le payer *
Loas (avec un grand sourire au lèvre) : Grand père ! Vous voilà enfin ! (Elle l’enlaça)
Hikarie-sensei : oh loas comme tu as tant changé depuis la dernière fois que je t’avais vu, et surtout comme tu as grandis.
Loas (modeste) : Ah !? Mais voyons grand père, il n’y a pas si longtemps que ça qu’on ne s’était plus revu ! Alors je ne pense pas que j’ai pas autant changé.
Hikarie – sensei (plaisanta) : Bien sur que si, ma petite loas, je ne m’en souviens pas que tu ais une si énorme et jolie poitrine.
Lorsque ces parole sortit de sa bouche les garçon son rester totalement scié par ces propos, totalement incroyable ! Jamais ils avaient entendu hikarie - sensei parler sur ce ton mais aussi de ce sujet, loas ne faisant pas attention à ce qu’il disait, essayait de détourner le sujet.
Loas (riais bêtement) : oh !mais voyons grand père je n’ai plus dix ans tu t’en souviens ? J’ais dix sept ans maintenant!dit elle rouge gêner de voir son grand père lui sortir ses paroles devant les autres.
Hikarie – sensei (riait à son tour) : Mais oui …je m’en souviens… Au fait s’est une surprise de te voir ici !
Loas : Tient ? Vous ne le saviez pas ? J’ais pourtant Téléphoné toute à l’heure ! Non ?
Hikarie sensei (s’excusa) : Oh Je m’en excuse, mais j’ais sûrement pas du entendre là d’où j’étais, je devais faire une sieste à ce moment là ou je devais vraiment être sourd d’oreille…
Loas et hikarie - sensei étaient tout les deux installé au canapé alors que djidane lui avait suivis avec attention la discussion et que en fait il n’en saisissait pas un seul mot ! Puisque tout les deux parlait le français ! Eh oui ! Loas savait que son grand père la comprenait parfaitement et de plus elle ne voulait pas s’embêter a parlé une langue dont elle ne maîtrise pas très bien pour le moment, alors pour faire plus vites elle lui parlait français. Heureusement pour squall il comprenait un peu le français puisque au lycée il prit le français en deuxième langue vivante, contrairement à tidus et djidane qui eux n’ont pris que l’anglais. Enfin loas étonné par l’ignorance de son grand père ne préférait pas l’embêté plus longtemps et préfèrerait oublier ce malentendu. Tout ce qui comptait pour elle c’était d’être ici avec lui, à l’hôtel. Or pouvons nous appelé cet endroit un hôtel ? Loas demanda avec attention :
Loas (hésitante) : Euh grand père, ou sont passé toutes les servante et le maître d’hôtel ?
Hikarie sensei : Il ne sont plus ici, ils ont été renvoyé.
Loas (inquiet) : Renvoyé ?!Mais alors que devient l’hôtel ? Il y a très peu de touristes qui vienne en cette saison parce que jusqu’à présent, je n’ais personne d’autre à part …à part ces garçons.
Hikarie-sensei (d’un air serein) : Loas, je comprend ta déception tu devrais plutôt dire que maintenant hôtel n’est plus rentable ces temps ci très peu de touriste vienne dans ce quartier et…malgré la publicité. Les touristes veulent maintenant un endroit plus animé comme celui du quartier yamo où il vient de s’ouvrir un tout nouveau hôtel…
Loas : Hein ?! Quoi un nouveau hôtel ? Mais je n’en n’avais pas aperçu en arrivant de l’Aéroport !
À moins que …
Hikarie-Sensei : Oui, mais ne t’inquiète donc pas, je me suis tout de suite aperçu que aujourd’hui l’hôtel hikarie n’était plus comme il l’était autrefois. Et maintenant il vaudrait mieux que je ferme les porte et que …
Loas : Hein quoi !? Mais Grand père tu ne peux pas faire ça ! Je viens juste d’arriver !
Hikarie-sensei : Oh… Je pouvais prévoir ta réaction loas et ne t’inquiète pas j’ais prévue de faire de ce lieu un ….pensionna, et ces garçon que tu venais de voir sont déjà des pensionnaires …
Loas : Euh… J’ais bien entendu ?! Un pen…sion..na ?...pensionnaire ? Mais qu’est ce que cela signifie ? Maman, papa m’ont dit que…
Hikarie-sensei : Ah … oui tes parents ne pouvaient pas être au courant parce qu’il y a bien longtemps que le pensionna était ouvert puisque ces pensionnaire étaient là il y a déjà 2 mois… et j’ais totalement oublier de les prévenir…oh et puis je devrais le faire dès maintenant…oui comme ça tout sera réglé !

Hikarie- sensei se leva du canapé tandis que loas qui venait juste de sortir de sa torpeur lui disait avec empressement :
Loas : Ah ! Non grand père… euh Je pourrais le faire, non ? Enfin les appelés je ne veux pas que tu te fatigue pour rien à monter tout un étages et…
Hikarie – sensei : loas je peux tout de même marché je ne suis pas aussi vieux que ça ! Mais si tu insiste tant c’est d’accord ; Oh faite je vais monté dans ma chambre tu pourrais appelé squale et lui demandé de me rejoindre tu lui dira que c’est important, ah oui j’ais failli oublier, Loas tu peux resté tant que tu le veux, ici c’est comme chez toi alors ne soit pas du tout gêner ! Et pour le lycée où tu devrais être inscrite cette année je leur préviendrai de ta nouvelle inscription.
Loas : Au… lycée ?ah oui le lycée !
*J’avais complètement oublier que c’était pour cela que j’étais venu à la base.*

********

Hikarie sensei lui souriais une dernière fois avant de monter à l’étage supérieur. Il se dirigeait vers la chambre qui était normalement réservé aux gérant de cet hôtel qui maintenant était devenu un pensionna pour garçon .Une fois que hikarie sensei était arrivé, il alla s’installer sur le divan ou l’attendait son thé qui était brûlant est maintenant devenu tiède. Au moment ou il prît sa tasse que le téléphone qui était réservé au gérant sonnait, hikarie prît son temps à répondre (eh oui ! il lui a fallu 5 coup de sonnerie pour qu’il décroche !)
*Conversation au téléphone*
Hikarie sensei : Allo ici le pensionna d’hikarie à votre service ?
??? : Bonjour, excusez moi de vous dérangez monsieur mais es ce bien un pensionna pour garçon ?
Hikarie sensei : Oui monsieur c’est bien cela, mais pouvez vous vous présentez, c’est la moindre des politesse …Vous ne croyez pas ?
??? : Oh veuillez m’excusez, mais je vous ais envoyé un dossiez d’inscription dans une enveloppe sous mon nom aujourd’hui et …
Hikarie sensei : Hummm…AH oui le voici. Vous êtes M.Strife c’est cela ? Oh je suis navré mais je n’avais pas encore eu le temps de consulter votre dossier, mais…
(Il sort les feuilles contenu dans l’enveloppe et pu voir la photo d’identité, et ces feuilles soigneusement remplît.)
Je ne pense pas avoir le temps de le lire puis que je ne compte pas rester encore longtemps ici.
M.Strife : Ah ? Vous vouliez dire que vous ne m’acceptiez pas ?
Hikarie – sensei : Oh que non ?! Le pensionna est à peine ouvert il n’y a que deux mois. Alors ce n’est pas la place qui manque ici mais c’est que je suis vraiment pressé, alors…
M.Strife : Hein !! Mais attendez monsieur je n’ais pour l’instant pas d’autre endroit ou allé et votre offre me conviens parfaitement ! Alors si je ne peux m’installé maintenant ou faire quelque chose d’autre pour que vous m’acceptiez même en n’ayant pas lu mon dossier…
Hikarie resta silencieux un moment, le sourire au lèvre il y a bien longtemps qu’une personne n’était pas autant motivé, il devait avoir d’énorme soucis d’argent, il regardait toujours la photo quand il lui déclara :
Hikarie sensei : Très bien monsieur, comme je devrai partir pour bientôt en voyage, Puis vous me sembliez d’être un jeunes homme correcte, j’aimerais bien vous connaître par téléphone, c’est-à-dire vous posez quelque question dont j’aurais voulu savoir de vous si nous avions pris rendez vous, êtes vous donc d’accord M Strife ?
M Strife : * hein !! M’interroger au téléphone, un rendez vous ! Mais tout est inscrit sur papier, mais j’ais pas le choix, si je veux absolument me trouver un logement.*
Oui bien sur m hikarie sensei, je vous écoute, mais dites moi, quel genre de question allez vous me posez ?
Hikarie sensei : Oh juste ce qui concerne votre dossier mais vous y verrai !puis je commencé ?
M. Strife : oui sensei…
Hikarie sensei : pourquoi voulez vous rester au pensionna ?
M Strife :*hein ! Mais ce n’était pas dans le dossier ça ! Allez il faut que je trouve quelque chose à dire n’importe quoi*
Eh bien, j’aimerais bien y rester parce que j’en suis tout à fait sur de faire de nouvelle rencontre, et d’après ce que j’ai pu entendre, il y a une très bonne ambiance mais aussi une très grande amitié qui lie les pensionnaires…
Hikarie sensei : Très bien, autre chose, recherché vous l’âme sœur ?
M Strife : Pardon ?
Hikarie : Oui, recherché vous quelqu’un à qui aimé, de partagé vos sentiments M Strife d’après votre dossier vous êtes encore jeune et célibataire, vous avez 17 ans, un jeune homme comme vous n’êtes vous pas intéressé ?
M Strife (gêner) :…..eh bien honnêtement monsieur…
*mais où veut il en venir à la fin ?*
Hikarie sensei (d’une voix aimable) : Allez y, que vous le disiez oui ou non ne changera pas à ma décision.
M Strife :….Non
Hikarie sensei : Ah vous le devriez, honnêtement vous ratiez beaucoup de chose…. Pourquoi ?
M Strife :*Pourquoi ? Mais j’en sais rien moi ! Parce que j’ais peut être pas pensez à ça en ce moment ou que j’ais trop de problème, et en plus ce n’est pas ces affaire mince !*
Eh bien seulement, j’ais pas la tête à ça mais aussi, je trouve que…
Hikarie sensei : « que …» ?
M Strife :… Que ça ne sert à rien, l’amour nous ramène toujours des problèmes, mais dans un certain point ça peut être agréable mais rien de plus.
*Oh non pas qu’il ne vas pas m’accepté parce que j’ais dit des chose qui n’ont pas de sens mon dieu faite qu’il…*
Hikarie sensei :…..
Il resta silencieux pendant 1min, M Strife inquiet lui demandait :
M Strife : Sensei ?
Hikarie Sensei : Ah oui j’était perdu dans votre dossier… Eh bien M Strife bienvenu au pensionna d’hikarie !
M Strife : vous êtes sérieux ?enfin vous me demandiez pas si…vous êtes encore
Hikarie sensei : ooh que non ! Vous êtes un peu à la traîne mais très mur dans vôtres tête, si vous veniez au pensionna, vous pourrez à coup sur ouvrir un peu plus votre cœur… ah…ah…
M Strife : je vous remercie encore de m’accepter.
Hikarie-sensei : Mais voyons je vous considère déjà comme mon beau fi euh mon fils, bon je vais devoir vous laisser, j’était ravie de vous avoir parler !


Hikarie sensei riais de bon cœur,alors que M Strife auparavant avait le cœur serrez mais maintenant qu’il était pris,il pouvait maintenant avoir la conscience tranquille et de pouvoir commencer à ce préparer.

******************

Le grand père fût très ravi que sa petite fille l’eu très bien pris la nouvelle. En fait il n’espérait pas qu’elle refuse et qu’elle retourne à paris. Loas un peu perdu ne compris pas pourquoi son grand père voulais absolument que l’hôtel devienne un pensionna. Or si il ne devait plus marcher comme avant, il est toujours possible de faire quelque chose, mais bon elle n’a pas d’autre solution que d’accepter l’offre de son grand père, comme elle n’avait nulle part où allé. Cependant il fallait bien qu’elle se mette un peu à l’écart de ces pensionnaires.
En parlant d’eux ils étaient tout les trois debout à la cuisine, Djidane comptait allé préparé une autre tasse de thé pour Hikarie. Quand squall et tidus entrèrent, djidane profita de cet instant, pour régler certain petit détail avec tidus.
Djidane : Alors comme ça hikarie sensei était sortie faire un tour !
Tidus : Ecoute je peux tout expliqué ! Je ne pouvais pas savoir qu’il était à l’étage ! Enfin quoi ? Les gars il faut me comprendre, le vieil homme est tout petit, effacé de ce grand pensionna ! C’était comme si on avait la maison pour nous tout seule alors j’avais pas prévue qu’il…
Djidane : Oh ça va on a compris ! Mais si tu me refais encore ce coup là …
Squall : Sinon quoi Djidane ? Croyais tu vraiment qu’elle allait tomber dans t’es bras ? Mais ne faut pas rêvé ! En plus elle est chez elle ici ! Alors vaut mieux pas que tu l’embêtes ok ?
Djidane : Quoi ? C’est toi qui oses me dire ça squall ? Pourtant je pensais que tu allais comprendre mes actes et toi, tu me traites déjà comme un profiteur ! Et en plus j’ais pas vraiment le choix. Tant qu’il y a son grand père je ne vais pas agir.
Tidus (conseilla) : Euh djidane, je crois bien que tu ne fasses rien qui puisse…
Djidane (énervé) : Bon bon vous êtes pas mes parent ! Je fais ce que je veux ! hum voyons voir vous pensez qu’il a fini de causé avec elle ?
Tidus (pas sûr) : Oh j’en sais rien. On aurais du resté avec elle non ?

Squall exaspéré par l’incompétence dont ces soit disants ami fait preuve mais bon pour s’en éloigné de leur imbécillité, il était sur le point de sortir de la cuisine, quand elle-même vît son entré.
Loas : Oh ! Vous ne vous êtes pas fait mal ? Excusez moi c’est de ma faute j’ais pas regarder devant moi en entrant.
Squall : Non c’est rien c’est plutôt moi, j’étais pas assez concentrer, enfin je voulais dire que…que…
Il s’arrêta net de terminé sa phrase. Puisqu’il ne s’est rendu compte qu’à l’instant que ce qu’il lui disait n’avait aucun sens. Puis qu’il valait mieux qu’il se taise avant qu’il ne dise une bêtise.
Loas c’était souvenu de son prénom.
Loas : Oh dites moi, vous vous appeliez bien squall ? Parce que j’ais pas tout à fait bien retenu vos noms tout à l’heure.
Squall : Oui c’est bien cela. Ne vous en faites pas il est normal que vous hésitiez au début.
Loas : Euh oui, mon grand m’avait demander de vous dire qu’il vous attend en haut dans la chambre du gérant. Il se pourrait qu’il veuille vous parler de quelque chose de très d’important.
Squall : Je vous remercie. J’y vais tout de suite. Ah oui, j’ais encore une chose vous dire. C’est à propos de djidane et de tidus.
Loas : De djidane et de tidus ?à vous voulez parlez de vos deux amis, celui qui m’avait proposé du thé ? Et…
Squall : *amis elle se trompe totalement !*
Oui c’est bien eux, évitez trop de leur demander quoique ce soit. Si vous désirez visiter l’endroit, vous n’avez qu’à m’attendre je n’aurais pas pour longtemps
Loas (avec un sourire): Très bien, j’irais finir de boire mon thé en attendant votre retour !
Squall rassurer qu’elle ne lui demanda pas pourquoi lui fit signe de la tête .Et il monta les marches qui lui ramène à l’étage supérieur.
Quand à Loas, elle fût énormément et extrêmement surprise quelle n’eut pas fuis et ni eu le hoquet comme la dernière fois ; où c’était au lycée Arago à paris, en cours de langue, un garçon lui demanda de lui prêter un stylo, elle ne lui avait pas dit un seul mot pendant toute l’heure, et donc n’a pas pu écrire un seul mots sur sa copie. Elle n’osait en aucun cas posé un seul regard sur un garçon, elle n’avait jamais d’amie qui l’appréciait et qui voulait être son ami parce que tout le monde la trouvait bizarre.
Loas alla vers le salon pour s’installé sur le canapé qui n’était pas si neuf que ça. Évidemment elle ne comptait pas visité toute seule ce grand pensionna alors qu’elle le connaissait trop bien lorsqu’elle était encore petite fille ! Elle connaissait tous les passages secrets !
Mais maintenant, elle ne souvenait plus comment elle devait se rendre au Rotemburo ou même au toit. Elle allait souvent avec son amie. Mais elle s’en souvenait même plus son de nom et même de son prénom, malheureusement elle a du se séparé d’elle, car elle devait souvent déménager.

Enfin bref elle était heureuse de pouvoir se trouvé très loin de ses parent. Ce n’était pas le faite qu’elle détestait ces parents loin de ça ! Mais il fallait maintenant qu’elle devienne plus responsable et qu’elle sache se débrouiller seul enfin presque…
Donc la voila enfin prête à vivre de nombreuses aventures palpitante, mais loas n’espère pas que tout cela lui arrivent rapidement ! Elle préfèrerais rester discrète, et de faire de son mieux pour satisfaire son grand pères et de l’aider dans ces tâches ménagères, la cuisine et autres. Elle était déjà impatiente de savoir qui sont ces nouveaux pensionnaires ?
Ils avaient l’air drôlement bizarre surtout celui qui lui avait servis du thé brûlant. Et elle ne comprenait toujours pas pourquoi il l’avait accueilli et fait connaissance sans même la connaître !
Elle se demandait si tout les garçon était comme lui ?

Loas (dans ses pensées) :*je me demande si je ne devrais pas plutôt monté mes bagages et ensuite pouvoir visité les lieux une fois qu’il est fini de discuté avec mon grand père …Oui je devrais faire ça ! Ainsi, Je n’aurais pas perdu mon temps à attendre et j’aurais au moins fait quelque chose aujourd’hui ! *

Elle se lève du canapé avec une grande énergie. Comme si toute sa volonté était concentrée en un seul point de son corps ! Elle quitta le salon et pris ses bagages qui se trouvaient au bas de l’escalier près de la porte d’entrée. Puis elle montait les escaliers avec difficulté mais toujours de bonne volonté .Tidus et Djidane étaient toujours là en bas des escaliers en train de l’observer.
Tidus : Euh dis moi djidane, pourquoi tu ne vas pas l’aidé ?
Djidane : Ah oui … eh bien si je le fait, je crains qu’une catastrophe va me tombé sur la tête.
Tidus : Tu parles de qui là ? Du grand père ?
Djidane : Ah ton avis imbécile !il vaudrait mieux que je m’en tienne là mais…
A cet instant, une idée lui vint à l’esprit et il s’exclama.

Djidane : Tu n’as qu’à l’aidé tidus, tu pourra faire connaissance avec elle et si sa se trouve elle va se perdre dans cette grande maison tu te souviens du premier jour où on été arriver. Tu t’es perdu dans la maison et on a du te retrouver le lendemain matin dans le grenier.

Tidus : Eh ! Ce n’est pas de ma faute si la porte c’était renfermé derrière moi et qu’elle ne s’ouvrait que de l’extérieur !
Djidane : A quand j’y repense j’ais du la fermer en pensant que la porte devait être fermé et non ouvert
Tidus : Quoi ! Tu vas me dire que c’était toi ! Tu l’avais fait exprès ! Alors là …
Tidus tentait de l’agripper à son tishirt quand tidus le supplia :
Djidane : Ah ! Tidus il faut m’excuser mais j’ais tellement l’habitude à la maison de fermé toute les portes que j’ais pas pu m’empêcher de la faire ! Oh, ce n’est pas le moment ! il faut la retrouver avant qu’elle se perde !
Tidus : Tu vas voir, j’ais pas encore fini avec toi…
Djidane : Oh mais c’est du passé tout ça !bon allons y…
Tout les deux montèrent les marches avec une grande agilité et arrivèrent au 1er étage, tidus tourne la tête de gauche à droite et tout en suivant son instinct, il cria hautement :
Tidus : Elle est partie à gauche !
Djidane : En es tu bien sur Tidus ?
Tidus : T’en fais pas je sais comment m’y retrouver et j’en suis sur qu’elle est parti du côté du rotemburo pour se détendre et…
Djidane : Oh la, tu crois pas que tu vas un peu vite, elle vient juste d’arriver ! On a vu tout à l’heure qu’elle montait ses bagages donc que fait une fille avec ses bagages ?
Tidus : Euh… Elle le monte dans sa chambre ?
Djidane : Voilà ! Houa tu en a mis du temps à comprendre Tidus Alors c’est à droite qu’il faut y allé!
Tidus : Hey ! Tu n’es pas en train de me traité d’imbécile !
Djidane : Tu as tout compris (rire) eh ! Attend je plaisantais !
Djidane esquiva attend ses coups qui étaient trop prévisible pour lui et il reprit son souffle.
Djidane : Tu es trop lent, tu sais bien que sa ne sert à rien de te battre on avait fini l’entraînement il y a plus de trois heures, alors ce n’est pas le moment de te défouler ok ?!
Tidus s’essouffla très vite et lui disait.
Tidus : J’en ais marre que tu te moque de moi ! Alors je n’arrêterais pas tant que…
Djidane : Ecoute tu ne vois pas que je te charriais un peu, franchement tu n’as pas d’humour mon pauvre tidus …oh non !la fille on l’a complètement oublier ! T’as vu !maintenant c’est de ta faute tidus !toujours en train de te plaindre !
Tidus : Hein quoi ?! Mais c’est toi qui à commencer.
Tout les deux coururent dans les couloirs afin de retrouver sa trace comme deux des prédateurs à la recherche de leur proie.

Pendant ce temps squall se trouvait devant la porte où il était marqué dessus « gérant ».
Avant de frapper à cette porte, il se demandait bien pourquoi le vieil homme l’avait demandé. Était ce pour l’édicter des règles envers sa petite fille ?
il n’empêche qu’il n’avais pas tord de s’inquiété pour elle , surtout avec djidane dans les parages , il était sur que m hikarie le jetterais le coups de pied dans son derrière tout en le criant de ne plus revenir ici ,ou il serait maudit d’être né !
Dans tout les cas il devait entré, et écouté ce qu’il avait à lui dire. Il donna trois coups à la porte, il entendit la voix d’hikarie, puis il entra :

La pièce n’était pas si grande que l’est le nouveau pensionna, ce qui l’étonnait le plus c’était de voir que le nombre de meuble qui y contenait n’était pas si énorme. il avait seulement le stricte nécessaire ,son lit au fond à gauche, une petite table basse un large tapis décoré avec des motifs très extraordinaire , qui représentais un dragon et des pétale qui l’entourait , c’était très beau ,squall fixait encore le tapis quand hikarie l’interrompe :
Hikarie - sensei: oui il est magnifique se tapis, il fait partis de la famille depuis des génération, mon grand l’avait confié mon père qui lui me la donc confié. Ainsi de suite, c’est la tradition, dans notre familles, et se tapis doit représenté une très grande valeur.
Squall (surpris): euh oui monsieur, excuser moi pour mon retard j’ais …
Mais ne vous en fait pas mon garçons je vous est seulement convoqué pour vous parlez de ma petite fille…
Squall (se réjouis) :*ah je le savais…*
Hikarie- sensei : elle est à peine arriver au japon, il n’était normalement pas prévue qu’elle vienne aujourd’hui . Puisque j’avais su que ma fille ne laisserait loas venir dans un pays dont il y a déjà plus de dix qu’elle n’est plus mise le pied.
C’est une fille d’une grande timidité et elle n’est pas très habituée à ce grand changement. Vous savez mon garçon, elle n’est pas très à l’aise avec les hommes, d’après ce que ma fille m’avait appris, alors j’espère bien que toi et les autres vous vous entendiez bien.
Squall (éberluer) : euh oui bien sur sensei je comprend tout à fait vos inquiétude, mais pourquoi me dites vous tout cela, vous seriez toujours …
Hikarie Sensei : Oh je pense que dans très peu de temps, je ne vais pas tardez à m’en allé…

Squall le regard de stupeur avais cru mal entendre ce que le grand homme contait lui annoncé, mais ce qu’il disait n’était pas du tout cohérent.

Hikarie Sensei : Oh, non ah, je pense comprendre ta réaction, mais il est nécessaire pour ma bonne santé de partir...
Squall : Hein quoi !? Mais sensei vous savez la vie est remplis d’aventure, et il est inutile de dire ce genre de chose qui ne vous servent à rien !

Hikarie Sensei : Je compte partir en voyage pour quelques temps, comment tu viens de me le dire la vie est remplie d’aventure et je souhaiterais vivre ceci intensément mais je n’ais pas prévu que ma petite fille vienne aujourd’hui et je crains devoir annuler mon projet …
Squall : Mais ce n’est pas la peine, sensei, votre petite fille est assez grande pour s’occuper d’elle-même ne vous en faite donc pas pour elle…
Hikarie Sensei : Bien sur vous avez raison et c’est pour cela que je vous la confie, parce que je pars dès maintenant j’ais un avions à prendre.
Squall : Hein quoi ? Mais. .
Hikarie Sensei : Ah oui ! Si ma petite fille pensera à me chercher. Est-il possible que vous lui donniez cette lettre que je viens juste de l’achevez, je n’ais malheureusement pas le temps de lui donnez en main propre, un taxis viendra me chercher dans très peu de temps. Bonne chance Squall à vous trois et que vous réussissiez cette année pour vos examen !

Hikarie referma lentement la porte derrière lui. Laissant seul squall dans la petite pièce avec une enveloppe à la main pétrifier par ce qu’il venait d’apprendre. Tout était aller si vite, le grand père qui compte faire le tour du monde en laissant sa fille seul avec les deux autres, c’était du pure délire, le grand père n’avait peut être plus toute sa tête à son age, et lui l’avait encore encourager à partir quel imbécile !se blâma squale. Il n’avait d’autre choix que de remettre l’enveloppe à loas.

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Pendant ce temps loas ayant eu l’impression d’avoir parcouru des kilomètre. elle avait complètement oublier que le pensionna était immense,évidemment elle se souvient que sa chambre hôtel se trouvait autrefois dans cette partie de cette demeure ,mais bon elle se retourna et vit une porte qui lui semblait tout a ait être familier . Elle s’approcha discrètement et s’apprêtait à tourner le poigné quand quelqu’un l’interpelle, évidemment c’était djidane.

Djidane : Ah loas ! Mais où étiez vous donc passez, squall vous cherche partout !
Tidus : Laisser moi vous aider à porter vos valise, votre chambre est ici ? Ou par la ? Euh djidane elle est où déjà sa chambre ?
Djidane :*Oh quel imbécile même pas fichu de se débrouillé*
Loas (rouge): Ah oui je m’en excuse je n’aurais pas du quitter le salon sans votre accord !!
Djidane (regard inattendu): Hein ?! Quoi…
Loas toujours le dos courbé continua à s’excusé, elle a entendu dire que les japonais sont très respectueux et on des geste qui répond à des attention à s’excuser de cette manière.
Loas : Je comprends que vous me grondiez mais je pensais retrouver ma chambre toute seul et bon derrière cette porte je croyais que c’était…
Djidane : En faite c’est ma chambre, il vaudrait mieux que je vous explique certain point ! Voila tout d’abord …
Squall : Djidane !arrête de l’embêté et loas désolé de vous avoir fais attendre mais j’ais quelque chose d’important à vous remettre de la part de votre grand père c’est très important.
Loas : Ah bon ? Mais où est il ?
Squall lui tend la lettre , loas le prend délicatement et fût sur le point de l’ouvrir quand squall lui conseilla de la lire dans un coin ou on ne viendrais pas la déranger ,apparemment l’air que prenait squall l’inquiéta , elle se demandait bien pourquoi son grand père n’était pas là …
Enfin de compte, elle suivi son conseil et rentra dans une pièce au hasard, puis elle alla s’asseoir sur le lit et commença à ouvrir la lettre : elle sorti la feuille puis elle lu attentivement, voici ce qui en était :
*Lettre*
Le 30.09.07
Ma chère loani – Kun,

Eh oui, je suis désolé que tu reçois cette lettre dans ces condition mais j’ais du partir très rapidement car un avion comptait partir, donc je n’est pas beaucoup le temps. Je compte faire le tour du monde ,découvrir d’autre lieu que le japon et même peut être passé à paris afin de parlé de chose importante avec ts parent ,malheureusement je n’y m’attendais à se que tu vienne mais tu est toujours la bien venu et c’est donc pour cette raison que je te confie la gérance du pensionna, en attendant mon retour !ne t’en fais pas ces garçon on l’air grossier mais ont une grande générosités et tu verra tu t’entendra très bien .enfin bref je t’encourage à pouvoir travailler dure cette année !ah ! À la prochaine !
Ton grand père hikarie.

Loas : hein QUOI ! Grand père me demande de géré le PENSIONNA !toute SEUL !

Fin du chapitre 1
Ah j’ais enfin fini mon premier chapitre ! Je suis trop contente ! , bon j’espère que la longueur de mon premier chapitre vous plaise !et que vous l’avez aimez ! Vous savez au début on doit présentez l’épilogue .... Mais bon vous verrez bien que histoire ne sera pas très facile pour loas, elle est très timide polis certes mais vous comprendriez qu’au prochain chapitre se qu’elle avais besoin c’est de la compagnie féminine et je parle bien sur pour mon prochain chapitre qui s’intitulera : « l’arrivée des nouvelles pensionnaires !